Un dossier en quatre parties pour découvrir Ultra, une plate-forme de distribution de jeux PC alimentée par la Blockchain de nouvelle génération.

Bienvenue dans la quatrième et dernière partie de ma série consacrée à la plateforme Ultra. Dans la première partie, j'ai couvert l'équipe d'Ultra ainsi que leurs partenariats avec Ubisoft, AMD et « l'opérateur » chinois encore inconnu. Dans la deuxième partie, j'ai couvert l'approche d'Ultra en matière de gouvernance et de producteurs de blocs, leurs réponses aux différents points faibles de Steam, les effets de réseau de la plate-forme Ultra et la nouvelle fenêtre de lancement et comment cela impactera les chances de succès d'Ultra. Dans la troisième partie, j'ai traité les systèmes de référencement d'Ultra ainsi que le jeton UOS.

Vous pouvez lire la première partie ici, la deuxième partie ici et la troisième partie ici.

Et si vous ne l'avez pas déjà fait, vous devriez immédiatement consulter les démos vidéo de la plateforme ci-dessous !

Alors sans plus tarder, voici les raisons 11 et 12 détaillant pourquoi Ultra est sur le point de révolutionner le secteur des jeux.

De nombreux experts en blockchain et en crypto-monnaie pensent que la première adoption par le grand public de la technologie blockchain interviendra dans le secteur des jeux, et il est facile de comprendre pourquoi. Les joueurs sont souvent parmi les premiers à adopter les nouvelles technologies - ils forment un groupe démographique jeune et féru de technologie. En plus de cela, les joueurs sont bien habitués à des économies du jeu utilisant des monnaies numériques ainsi qu'à la propriété et à l'échange d'articles numériques. Non seulement la blockchain est parfaitement adaptée aux économies des jeux, mais elle peut même les améliorer et les développer d'une façon considérable.

Un des sujets les plus discutés dans le domaine du gaming au sein de la blockchain est celui de la propriété des actifs numériques qui ont été achetés au sein du jeu. La vente des articles numériques dans les jeux vidéo est un business qui représente déjà 50 milliards de dollars. Bien qu'il s'agisse déjà d'un secteur considérable et en pleine progression, sa croissance est néanmoins entravée par quelques difficultés parmi lesquelles : le manque de véritable propriété, la fraude, le manque de transparence et le non-alignement des intérêts économiques entre les joueurs et les développeurs. La blockchain est à même de résoudre tous ces problèmes.

Au cœur de la proposition de valeur de la blockchain pour le commerce d'articles numériques, se trouve le NFT (ou jeton non fongible), qui est par essence un jeton unique et indivisible susceptible de représenter la propriété de quelque chose, comme par exemple un article numérique dans un jeu. La plate-forme Ultra utilisera largement les NFT, et proposera une marketplace au sein de laquelle les joueurs pourront acheter, vendre, offrir ou échanger des objets numériques. Il existe déjà de nombreux bons articles qui ont été écrits quant à la façon dont les NFT sont appelés à révolutionner le commerce des objets numériques, donc je n'entrerai pas en détail sur le sujet ici. Au lieu de cela, je vais me concentrer sur l'application des NFT qui alimentent son offre principale : les jeux.

En bref, voici quelques-unes des façons dont les NFT et la blockchain vont améliorer le commerce d'articles numériques.

Comment la blockchain améliore-t-elle le commerce d'articles numériques ?

Fournit une véritable propriété - La blockchain est la première technologie permettant une véritable propriété des actifs numériques. Détenir une véritable propriété sur leurs actifs numériques permettrait aux joueurs de tirer une valeur réelle des biens virtuels dont ils disposent, notamment en leur offrant la possibilité de les vendre et les échanger librement.

Preuve de rareté - La blockchain permet aux développeurs de jeux de créer des objets virtuels rares et de prouver leur rareté. Les utilisateurs pourront ainsi être sûrs qu'un article donné est rare et voir exactement combien ont été - et même pourraient être - émis.

Empêche la fraude - Pour chaque article numérique acheté en toute légalité, on estime que 7,5 sont perdus à cause de la fraude. La blockchain peut pratiquement éliminer la fraude en donnant à l'acheteur une certitude absolue quant à la légitimité d'un article et en supprimant le risque de contrepartie qui prévaut sur les marchés non officiels.

Augmenter la valeur des objets numériques - Donner aux joueurs la possibilité d'échanger, de partager, d'offrir et de vendre leurs objets contre de l'argent réel cristallise leur valeur économique et sociale.

Stockage sécurisé - À mesure que la valeur des objets numériques rares augmentera, l'importance de protéger ces objets contre les cybercriminels augmentera également. Les portefeuilles sur la blockchain offrent une sécurité maximale et sont quasiment impossibles à pirater.

Alignement d'intérêts - La mise en place de marchés secondaires permet aux développeurs d'être rémunérés sur chaque vente d'articles numériques, en alignant leurs intérêts économiques avec celui des utilisateurs.

Provenance - La transparence autour de l'historique de propriété pourrait conduire à une envolée du prix de certains objets. Imaginez qu'un célèbre joueur de sports électroniques remporte une compétition de haut niveau, puis qu'il signe et qu'il vende aux enchères l'arme qui lui a permis de remporter la victoire. Nous savons déjà que dans le monde physique, un tel objet serait incroyablement recherché. Eh bien il est désormais possible de reproduire cela dans le monde numérique.

Objets multivers - La blockchain ouvre également de nouvelles possibilités étonnantes pour les objets numériques, comme les objets dits « multivers ». Pour la première fois, vous aurez la possibilité de détenir des actifs numériques qui seront utilisables dans plusieurs jeux d'une même série, ou même dans des franchises. C'est par exemple au coeur du projet d'Enjin, un autre projet de crypto-monnaie basé sur la blockchain et axé sur les NFT.

Ce ne sont là que quelques-unes des façons dont la blockchain peut améliorer le commerce d'articles numériques car en réalité, les possibilités ne seront vraiment limitées que par l'imagination des développeurs. L'objectif d'Ultra est de créer une nouvelle norme pour les NFT susceptible de libérer pleinement la créativité des développeurs de jeux.

Puisque nous parlons des NFT d'articles numériques, Nicolas a justement laissé entendre dans Telegram que nous pourrions à l'avenir voir de grands jeux déjà existants adopter les NFT sur Ultra. Si ce qu'il évoque semble confirmer la version de l'expérience de jeu améliorée telle que vue par Ultra, cela pourrait être un moteur important pour l'intégration des utilisateurs. Cela, bien sûr, ne se limite pas aux jeux existants, mais à tous les jeux sortis sur Ultra.

Les NFT d'Ultra

Examinons maintenant les NFT de jeu d'Ultra et voyons comment cette fonctionnalité flexible pourra créer une situation « gagnant-gagnant-gagnant » qui représenterait une amélioration très significative par rapport à la situation actuelle et marquera un point de différence majeur par rapport à son concurrent, Steam.

Sur Ultra, chaque jeu ou abonnement à un jeu et DLC sera un NFT. Cela signifie que chaque fois qu'un joueur achètera un jeu, il recevra dans son portefeuille un jeton qui représentera sa propriété du jeu. Ces NFT seront entièrement programmables dans la « Token Factory » d'Ultra, ce qui signifie que tout ce qui concernera la structure de prix et de partage des revenus, les conditions de revente et de négociabilité, ainsi que la disponibilité et l'approvisionnement, sera entièrement personnalisable. Pour les développeurs publiant leurs jeux sur Ultra, la personnalisation du NFT pourra ainsi devenir le cœur de la stratégie marketing de leurs jeux et leur ouvrir de nouvelles et diverses sources de revenus.

Négociabilité et revente

La migration de la distribution des jeux vidéo, passée des copies physiques aux téléchargements numériques, a suscité beaucoup de débats autour de la propriété des jeux numériques. Si un joueur achète un jeu sur Steam, il ne le possède pas réellement, il possède seulement une licence pour jouer au jeu. Cela signifie qu'il n'a aucune capacité ou droit de donner, échanger ou vendre le jeu, comme ils le faisait auparavant quand il en détenait une copie physique. D'ailleurs, il est expressément précisé dans les conditions d'utilisation de Steam qu'il est interdit de tenter de vendre des jeux, ou les comptes auxquels ils sont associés.

Ultra sera l'une des premières plateformes de distribution à permettre la revente de jeux numériques. Lors de la définition des paramètres de leurs jeux NFT, les développeurs pourront autoriser la revente de leurs jeux ainsi que les conditions dans lesquelles cette revente peut avoir lieu. Les développeurs pourront fixer un prix de revente minimum, autoriser les reventes uniquement passé un certain délai après le lancement afin d'éviter la cannibilisation des ventes au lancement du jeu, et ils pourront fixer un montant de commission qu'ils percevront pour chaque revente de leur jeu. Cela profitera à toutes les parties : le développeur obtiendra une source de revenus supplémentaire à partir de toutes les ventes sur le marché secondaire, le vendeur pourra récupérer une partie de l'argent qu'il avait initialement dépensé pour le jeu et enfin, le nouvel acheteur aura accès à un contenu qu'il n'aurait peut-être pas pu s'offrir au prix fort sur le marché du neuf. Gagnant-gagnant-gagnant.

La mise en place d'un marché secondaire aura également un autre effet, dont l'impact est souvent négligé : s'ils savent qu'ils auront la possibilité de les revendre facilement, alors les gens seront plus enclins à acheter des choses. Imaginez une seconde le nombre de voitures neuves qui n'auraient jamais été achetées si la revente d'occasion avait été illégale ! Les jeux sont évidemment beaucoup moins chers que les voitures, mais le principe s'applique toujours : l'impossibilité de revendre affecte négativement la demande sur le neuf.

Le débat autour de la propriété des jeux numériques a même déjà eu lieu devant les tribunaux : un tribunal français a récemment jugé que Steam devait autoriser ses utilisateurs à revendre leurs jeux numériques. Valve a évidemment fait appel de la décision, mais il semble inévitable qu'au fur et à mesure qu'émergeront de nouvelles solutions de distribution qui rétablissent les droits de propriété des utilisateurs sur leurs achats numériques, les politiques de Steam et d'autres plateformes deviendront de plus en plus intenables.

Sur Ultra, les développeurs pourront même autoriser la vente ou l'échange de la progression du jeu, des comptes de personnages, etc. et prélever au passage un pourcentage sur chaque vente. Cela créera un autre résultat gagnant-gagnant. Ce sera une autre source de revenus pour les développeurs, mais ici, au lieu d'obtenir juste un pourcentage sur le prix de vente d'un jeu, ils recevront une commission assise non seulement sur la valeur du jeu lui-même, mais également les personnages du jeu, l'inventaire des objets, etc., ce qui pourrait in fine représenter des centaines voire des milliers de dollars. C'est également une récompense pour les vendeurs, dans la mesure où ces derniers pourront enfin monétiser toutes les innombrables heures passées à progresser dans le jeu, et c'est enfin une récompense pour les acheteurs car ils pourront effectuer leur achat sans craindre d'être victime d'une arnaque, risque toujours présent lors de l'achat sur un marché non officiel.

Prix ​​et partage des revenus

Comme mentionné dans la partie 2, Steam présente un problème majeur de visibilité pour les petits développeurs, en raison du volume massif de jeux qui sortent sur la plate-forme chaque année, et des algorithmes de Steam qui mettent les grands éditeurs en tête de gondole ces derniers représentant la grande majorité de leurs revenus. Steam manque également d'une solution permettant aux développeurs de commercialiser efficacement leurs jeux. Le résultat est que dans un océan de jeux, les petits développeurs ont beaucoup de mal à attirer l'attention des joueurs, sans parler des influenceurs, des streamers et d'autres créateurs de contenu. Pendant ce temps, les joueurs ont du mal à trouver du contenu intéressant en dehors des titres déjà massivement populaires.

Sur Ultra, les développeurs pourront personnaliser leurs NFT de jeu afin d'allouer une commission sur les parrainages. Ils pourront définir qui seront les bénéficiaires potentiels, quel pourcentage ils recevront et quelle sera la durée de l'opération, entre autres choses. Cela pourrait changer fondamentalement la stratégie de commercialisation des développeurs, qui n'auront plus besoin de passer par une agence extrene pour mettre en place ces accords avec des streamers individuels. Au lieu de cela, le système de parrainage incitera organiquement les autres à promouvoir le contenu en leur nom, en externalisant efficacement le marketing et la promotion de leurs jeux.

Ce ne sont bien sûr pas seulement les développeurs qui seront les gagnants de cette équation, car cela ouvrira une nouvelle source de revenus majeure pour plusieurs milliers de sites Web, de streamers et de blogueurs. Et parce qu'il s'agit d'un smart contract sur une blockchain, tout sera entièrement transparent et la commission sera versée instantanément au prescripteur sans qu'il y ait besoin d'un intermédiaire pour faciliter la transaction (et prendre sa commission au passage).

Les joueurs bénéficieront également de cet arrangement. Avec autant de nouveaux jeux qui sortiront chaque année, il sera peut-être long et difficile de trouver des titres de qualité au milieu de tout ça. D'un autre côté, il faut bien reconnaître qu'il n'y a pas non plus une grande incitation pour les influenceurs, etc. à aller creuser. Le système de parrainage d'Ultra incitera les influenceurs à faire le travail de recherche et à trouver les « pépites cachées » sur la plate-forme Ultra, ce qui signifie que les joueurs n'ont pas à le faire !

J'ai couvert le système de parrainage d'Ultra plus en détail dans la partie 3.

Disponibilité et approvisionnement

La principale raison du passage de la distribution physique des jeux vidéo à la distribution numérique est, évidemment le coût. Le coût unitaire de la distribution d'un jeu numérique est insignifiant par rapport à une copie physique. Il n'y a pas non plus de contrainte d'approvisionnement dans la mesure où les biens numériques peuvent être dupliqués sans frais et téléchargés à l'infini.

La plus grande innovation de la blockchain est probablement que, pour la toute première fois dans l'histoire, nous pourrons imposer la rareté à des biens numériques. Sur la plate-forme Ultra, les développeurs pourront délibérément limiter le nombre de leurs créations, par exemple pour des éditions limitées ou même des éditions de collection super rares. Cela sera rendu possible par le fait que chaque jeu sera un NFT sur la blockchain d'Ultra.

Les développeurs pourraient même aller encore plus loin et limiter l'offre de la version standard du jeu, ce qui signifie essentiellement qu'ils pourraient écouler intégralement le nombre d'exemplaires prévu et pas un de plus. Pourquoi auraient-il intérêt à faire ça ? Parce que si le jeu devenait super populaire, sa valeur sur le marché secondaire pourrait potentiellement monter en flèche. Et étant donné que le NFT d'Ultra offre aux développeurs un contrôle total sur les conditions du trading sur le marché secondaire, ils pourraient potentiellement capter une grande partie de la valeur du revente du jeu. La publicité autour de ce jeu rare et très recherché pourrait susciter un intérêt encore plus grand.

Ce type de stratégie de monétisation n'est bien sûr que théorique, mais cela n'est qu'un aperçu des possibilités ouverte par les NFT d'Ultra. Il sera très intéressant de voir comment les développeurs vont s'approprier cette technologie et quelles sortes de nouvelles stratégies de monétisation et de marketing émergeront. David Hanson (co-PDG) a donné un exemple créatif de la façon dont un développeur pourrait monétiser un jeu en utilisant une offre fixe et une utilisation intelligente des conditions du marché secondaire.

Au total, selon David Hanson, il y a une cinquantaine de paramètres différents qu'un développeur peut modifier pour personnaliser ses NFT de jeu, ce qui lui donnera une énorme flexibilité quant à sa stratégie de marketing et de monétisation. Et tout cela se fera via une interface utilisateur « attrayante et pratique » ne nécessitant aucun codage de la part du développeur.

David et Nicolas (co-PDG) ont souvent fait référence à la « sauce secrète » comme la clé du succès d'Ultra. Qu'est-ce donc que la sauce secrète ? Eh bien, on ne sait pas, parce que c'est secret. Mais que savons-nous ? Selon David, c'est lié à l'expérience utilisateur et aux réseaux sociaux. Il s'agit d'une nouvelle technologie apparemment si disruptive que des cadres dirigeants de haut niveau dans l'indistrie du gaming n'ont pas hésité à quitter des entreprises prestigieuses et subir d'importantes réductions de salaire pour rejoindre le projet Ultra :

Ainsi que des développeurs influents dans le domaine de la crypto-monnaie, tels que Rami et Nathan James, les développeurs de Scatter, le portefeuille populaire qui sécurise des milliards de dollars de jetons EOS. Rami, depuis qu'il a rejoint Ultra, a eu quelques mots à dire sur la sauce secrète.

Selon David, la sauce secrète a également joué un rôle déterminant dans la sécurisation des partenariats avec les géants Ubisoft et AMD :

J'aimerais pouvoir en dire davantage sur la sauce secrète, mais le fait est qu'il n'y a pas assez d'informations disponibles pour étanblir une hypothèse digne de ce nom. Et comme je ne suis pas en position d'autorité pour parler de la sauce secrète, et pour ne pas inutilement créer un buzz médiatique ou une spéculation injustifiée, je laisserai donc les gens se faire leur propre opinion 😇. Et donc - voici une partie de ce qui a été partagé jusqu'à présent sur la nouvelle technologie étroitement gardée d'Ultra, la fameuse « sauce secrète ».

Je suis conscient du côté paradoxal d'avoir évoqué cela dans ma liste sans être en mesure d'en dire davantage, car en réalité on ne sait pas vraiment ce que c'est. Cependant, étant donné l'importance évidente de la sauce secrète telle qu'elle est mise en avant par David et toute l'équipe, il aurait été anormal de la passer sous silence. Après tout, si l'on en croit le buzz, cela pourrait bien être la raison pour laquelle Ultra devrait perturber le secteur des jeux.

Sur la question du buzz, si je partage pleinement l'idée selon laquel il convient toujours de conserver une certaine distance par rapport à ce qui se dit et s'écrit dans l'univers de la crypto-monnaie, force est de constater néanmoins qu'avec des partenariats importants avec les géants Ubisoft et AMD déjà annoncés, Ultra a d'ores et déjà prouvé son sérieux. Alors pour ce qui concerne la sauce secrète en revanche, vous n'avez qu'à prendre comme un buzz... à vos risques et périls.

Conclusion

Si vous êtes dans l'univers de la crypto-monnaie depuis un certain temps, vous avez déjà entendu parler des les innombrables promesses de la blockchain et de tous les domaines que son adoption perturbera. En 2017, le discours ambiant laissait entendre que l'adoption massive était imminente. Or, nous sommes en 2020 et nous n'avons toujours pas vu la moindre adoption massive d'une technologie ou d'une application blockchain. Eh bien je pense que la plate-forme Ultra est sur le point d'être la première application blockchain qui sera adoptée en masse.

Premièrement, Ultra cible les joueurs, un groupe démographique particulièrement adapté et capable d'être les premiers à adopter la blockchain. Les joueurs sont habitués aux monnaies numériques et à la propriété et à la négociation d'actifs numériques.

Deuxièmement, ils ont des partenariats massifs avec des acteurs extrêmement influents dans le domaine du jeu, ainsi qu'un partenariat non annoncé avec un géant du jeu sur PC en Chine (75 millions d'utilisateurs mensuels).

Troisièmement, l'industrie que cible Ultra est énorme et son principal concurrent, Steam, présente d'importants points de faiblesse identifiés, qui seront tous résolus par la plate-forme d'Ultra. Compte tenu de la taille du secteur du gaming, il suffirait qu'Ultra s'octroie qu'un petit pourcentage des utilisateurs de Steam pour être déjà considéré comme un énorme succès.

Quatrièmement, non seulement l'application de la blockchain par Ultra constitue une véritable alternative à Steam, mais de plus elle offre des solutions puissantes et uniques pour les développeurs, les joueurs et les tiers, qui ne sont rendues possibles que grâce à la technologie de la blockchain.

Enfin, l'approche pragmatique et axée sur les affaires de l'équipe d'Ultra ne nécessite pas que, pour y adhérer, les développeurs ou les joueurs accomplissent un parcours du combattant ou soient obligés de renoncer aux modèles économiques auxquels ils sont attachés. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle Ultra a réussi à signer plus de 150 partenariats avec des développeurs, y compris parmi les plus importants monde, pour publier des jeux sur la plate-forme. Pour les joueurs enfin, Ultra proposera une plate-forme simple et conviviale, avec la blockchain comme joueur invisible en arrière-plan.

Ce sont pour toutes ces raisons et d'autres encore que je pense qu'Ultra est sur le point de disrupter le secteur du jeu et de devenir un acteur majeur dans les années à venir.

C'est tout pour la partie 4, la dernière partie de mon examen de la plate-forme Ultra. J'espère que vous avez aimé !

Pour vous tenir au courant des progrès de la plateforme Ultra à l'approche de sa date de lancement plus tard cette année, je vous suggère fortement de rejoindre le groupe de télégrammes Ultra !

https://t.me/ultra_io

Ou consultez certaines des autres ressources d'Ultra :

Ultra-ressources :

Site Web : www.ultra.io

Médium : https://medium.com/ultra-io

Livre blanc : https://ultra.io/wp-content/uploads/2018/09/Ultra-Whitepaper-1.06.pdf

Merci d'avoir lu!!